Bienvenue chez Moi

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lundi 28 septembre 2009

Compte Facebook Désactivé..là ou l'arbitraire prends le dessus sur la justice

j'ai été notifié que l'un de mes comptes était désactivé
et voici ce que je reçois suite à mon mail envoyé pour obtenir des explications et la réactivation de mon compte

Bonjour xxxxx,
L'examen de votre situation nous a permis de conclure que vous aviez enfreint les Conditions d'utilisation. Le contenu de nature sexuelle explicite, y compris la nudité, n'est pas permis sur le site. En outre, nous ne permettons pas l'envoi de messages de nature suggestive ou que d'autres utilisateurs pourraient considérer comme du harcèlement. Nous ne serons pas en mesure de réactiver votre compte. Cette décision est finale.
Nous vous remercions pour votre compréhension.



Ce à quoi j'ai répondu:

Madame, Monsieur,

Je suis au regret de vous dire que plein d'autres profils contiennent des contenus explicitement sexuels, voire pornographiques, de même que plusieurs groupes à caractères purement sexuels ne sont pas désactivés. Cela montre que vous appliquez la politique du deux poids, deux mesures. Je vous demanderai donc de désactiver tous les profils et autres groupes à caractère pornographique, racistes ou autres, comme vous l'avez fait pour le mien, en invoquant cette raison, qui reste arbitraire.

De plus, mon profil n'a rien de sexuel et je n'ai harcelé aucune personne.

Vous me présumez coupable alors que le droit US prône la présomption d'innocence.

Si une personne m'a signalé pour harcèlement, je vous demanderai de me donner le contenu exact et les heures et dates de harcèlement.

Je n'ai jamais harcelé personne et il s'agit donc, sans preuve de la part du plaignant, de ma parole contre la sienne.

Par ailleurs, je vous demanderai de me transférer toutes les photos / Videos et informations concernant mon compte, comme vous êtes tenus de le faire. De plus, je ne vous permettrais pas de les utiliser sans m'en demander la permission, ni de transmettre la moindre donnée à des entreprises tierces pour leurs besoins en marketing ou en publicité.

Je vous remercie de donner suite à ma demande, soit en réactivant mon compte (auquel cas veuillez enlever toutes les photos que vous trouveriez tendancieuses) ou me transmettre sur support numérique ou par email l'entièreté des données que j'ai uploadé via votre site.

Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire

Salutations

mercredi 16 septembre 2009

S'assoir sur un cactus..peut avoir des dommages collateraux!!


un cactus a fagocité une boite à image....
Ca doit être normal vu qu'un cactus est par nature phallique..
Mais qq millions d'enculés accro à cette boite à image....en si peu temps...
Ca risque d'augmenter les risque de diarrhée verbale et de constipation mentale :)))

Cas de Conscience!!

Si, conformément à la religion (quelle qu'elle soit), la pilule du jour d’après est déjà considérée comme un avortement,
de nouveaux doute se posent :
la masturbation peut être vue comme un homicide prémédité?
En outre, est ce que la fellation devient du cannibalisme?
Et ainsi, peut-on considérer le coït interrompu comme abandon parental?
Et le préservatif , Serait-ce un meurtre par asphyxie?



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mardi 15 septembre 2009

Mesdames, faites vous plaisir et des économies

Mesdames, au lieu de vous encombrer d'un mec qui vous pourrira la vie...
Faites des économies...Et surtout faites vous plaisir
(Cliquez sur les images pour les agrandir)



Le depressif


Le cadre beauf'

Le don Juan BC BG

Le Macho

lundi 14 septembre 2009

A la recherche des vieux censeurs perdus de N.B extrait de www.businessnews.com.tn

Je me permets de poster un article de http://www.businessnews.com.tn/ écrit par N.B qui appelle à réflexion.Par ailleurs, ce e-journal, 100% tunisien est l'un des meilleurs de la place avec une analyse critique du monde tunisien et une information économique de qualité. Je le conseille à tous ceux qui ne le connaissent pas encore...et ils sont rares

A la recherche des vieux censeurs perdus de N.B

Il s’appelle Hatem. Il fut un temps où Hatem n’était qu’un petit journaliste lu par quelques francophones BCBG de Tunis Hebdo, puis du Temps. Mais Hatem a de l’ambition. Il s’est alors mis à rédiger des scénarios pour la télévision. Son dernier en date est celui de la série ‘’Choufli hall’’. Ça a bien marché. Très bien marché au point que les annonceurs publicitaires se sont mis à se bousculer pour placer leur spot avant, pendant et après sa série.
Il y en avait tellement que la direction de la télévision n’a pas su quoi faire. Peut-elle décliner cette aubaine ? Il faut être un génie pour trouver une solution à l’équation de placer 42 minutes de pub dans un espace-temps de 30 minutes. Justement, la direction de la télévision est composée de génies qui vous trouvent des solutions à toutes les équations. Sachant que c’est dans les vieilles marmites que l’on compose les meilleurs plats, la direction de la télévision a cherché dans les siennes de marmites et a trouvé la solution à ‘’choufli hall’’ : réduire l’espace temps consacré à la série en lui censurant 12 minutes. L’information est rapportée dans la chronique de Khemais Khayati dans Assabah de samedi dernier.
Mais ça n’a ébranlé personne. La censure en Tunisie, ce n’est pas nouveau. Surtout quand on s’appelle Hatem et que l’on était journaliste. Tout le monde s’y fait. On est habitué à être censuré. A être méprisé.
Ce qui est nouveau cependant, c’est que l’on est censuré à cause de pots de yaourts et des paquets de biscuits !
Avant, les censeurs ‘’militaient’’ pour le respect des politiques, de la religion et des bonnes mœurs. Aujourd’hui, ils ‘’militent’’ pour les yaourts et les biscuits. A chaque génération (de censeurs), ses priorités.

Lui, c’est un petit garçon des cités. Un garçon qui a de l’ambition et beaucoup de prétention. Passionné de comédie, il a joué un rôle par-ci, campé un personnage par-là et, croyant que l’heure de gloire avait sonné, il a lancé son propre show. Ça a marché, son show a plu, son show a séduit.
Quelques jours plus tard, on a découvert qu’une partie du show du petit garçon était plagiée sur celui d’un autre petit garçon. Le plagiat est un sport national en Tunisie. Il y a même des chaînes de télévision qui plagient ouvertement. Tant que personne n’a fait de break en prison, la porte est ouverte à tous les abus. Tout le monde plagie tout le monde et les censeurs s’en moquent, occupés qu’ils sont par leurs yaourts et leurs biscuits.
Justement, il se trouve un qui a osé crier au scandale. C’est un jeune inconnu qui, sur sa page Facebook, a ‘’osé’’ montrer une vidéo mettant en parallèle les scènes du plagiat en les plaçant côte à côte. Mieux, il a inséré des passages d’une interview avec cette comparaison blasphématoire où le petit garçon des cités se mesurait à Robert de Niro and co. Scandale pour le petit garçon qui n’a pas apprécié cet étalage facebookiste !
Il exerça des pressions, des intimidations. Le jeune inconnu a eu peur et s’est autocensuré.
Avant, les censeurs étaient des gens d’un certain niveau, d’une certaine culture, d’un certain background. Aujourd’hui, n’importe qui peut censurer n’importe quoi.

Pendant que les uns censurent pour la pérennité des yaourtiers et les autres censurent pour préserver leur supposée bonne image, on s’interroge où sont les censeurs d’antan.
Ceux qui flanquaient du bleu à l’écran pour cacher un baiser. Ceux qui plaquaient une pancarte “interdit aux moins de dix-huit ans“ dans un film d’Almodovar.
Aujourd’hui, à la télé, on peut voir une femme battue, de la violence physique, psychologique et verbale en prime time. Aujourd’hui, on peut voir une télé proposer des émissions étrangères plagiées ouvertement. Aujourd’hui, à la télé, on peut avoir une minute de fiction pour trois minutes de pub. Mais où sont donc les vieux censeurs ? Pourquoi nous ont-ils quittés lorsqu’est venu le jour où l’on a vraiment besoin d’eux pour mettre un peu de régulation dans une télévision sans normes ?
Nous avons cherché et nous avons trouvé. Ils sont encore là, parmi nous et nous observent amusés. Ils sont toujours là devant leur écran. Non pas le petit écran de la télévision, mais devant l’écran de leur ordinateur occupés par nos mails, nos sites roses, nos sites politiques, notre Facebook, notre Youtube, notre Dailymotion. Ils sont malins les vieux censeurs et savent que l’avenir, c’est l’Internet.
A chaque génération (de censeurs), ses priorités. Paradoxalement, ce sont les vieux qui s’occupent de l’Internet en laissant les jeunes s’occuper de la télévision et du reste. Et ils ne s’attendaient certainement pas à ce que ces jeunes aillent censurer des fictions pour mettre des yaourts.
N.B.


samedi 12 septembre 2009

Que chacun applique sa religion sans nous casser les couilles et nous obliger à faire ce dont on est pas convaincu!!!

Pour avoir « mangé » pendant la journée du ramadhan Deux jeunes incarcérés puis remis en liberté
Djamila, jeune émigrée installée depuis peu en Algérie, et son cousin ont été incarcérés mardi dernier pour avoir « cassé » le Ramadhan. Après avoir été incarcérés à la prison d'El Harrach, les poursuites judiciaires ont été abandonnées suite à une intervention « d'en haut ».
Les faits remontent à mardi dernier. Ayant passé la journée à courir les rendez-vous professionnels pour l'ouverture prochaine de sa société, Djamila et son cousin se sont installés dans un parc, à l'abri des regards, pour se rafraîchir et s'alimenter. « Il y avait une chaleur atroce ce jour-là. Dans la mesure où nous devions faire des allers-retours quotidiens entre Alger et la Kabylie, où mes parents possèdent une maison, il fallait prendre des forces pour ne pas causer d'accident de voiture. Nous étions garés dans le parking attenant au parc de Ben Aknoun. Personne ne passe par là à 15h », nous a expliqué Djamila. A peine ont-ils ouvert leur sac que deux policiers en civil les ont accostés. A la vue des sandwichs, ils les ont questionnés sur leur religion. « Les deux flics nous ont proposé d'aller au poste de police pour une simple vérification d'identité sur ordinateur et nous les avons suivis », raconte Djamila. C'est au commissariat de Draria que le cauchemar a commencé pour Djamila et son cousin. Les policiers ont d'abord voulu prétendre que son cousin buvait de l'alcool dans le parking de Ben Aknoun. Puis ils les ont accusés d'être « amants ». « Ils ont interrogé mon cousin de façon très musclée sur le fait de ne pas jeûner », relate Djamila. Le commissaire de police leur a fait signer un PV en arabe où il était mentionné qu'« ils mangeaient sur la place publique devant des piétons ». Djamila, qui ne sait parler ni écrire l'arabe, a signé sans savoir de quoi il retournait, sur injonction des policiers. Après une visite médicale, les deux « non-jeûneurs » ont passé la nuit en garde à vue au commissariat. Mercredi matin, les deux cousins ont été menottés pour leur passage devant le procureur. « Dans la salle d'attente, les autres prévenus ne portaient pas de menottes. Nous avons été considérés comme de vrais criminels », rapporte Djamila. De catastrophe en catastrophe, le procureur a décidé de les transférer à la prison d'El Harrach.

Le motif invoqué pour leur incarcération a été le « dénigrement du dogme et des préceptes de l'Islam ». « Nous n'avions aucune idée de ce qui se passait. Dans la voiture de police, les flics n'ont pas voulu nous dire où ils nous emmenaient. Lorsque nous avons compris que nous étions en route vers El Harrach, nous avons appelé notre famille en toute hâte avant que les téléphones ne soient confisqués », confie notre interlocutrice. A la prison d'El Harrach, Djamila dormait à même le sol, car il n'y avait plus de lit disponible dans le dortoir des femmes. Au même moment, toute sa famille s'est impliquée pour faire libérer les deux prisonniers. L'affaire a connu son dénouement jeudi 3 septembre, tard dans la nuit, grâce à l'intervention de quelqu'un « haut placé ». La sœur de Djamila s'insurge contre « l'absurdité » d'une telle condamnation. « On savait que les libertés fondamentales étaient bafouées en Algérie. Oui le Ramadhan est un mois sacré. Oui, c'est un mois de jeûne pour les croyants. Mais il appartient à chacun de pratiquer sa foi selon ses convictions et sa conscience religieuses », dit-elle. Et d'ajouter : « Sommes-nous dans une soi-disant République démocratique et populaire. Ce serait alors une démocratie guidée par l'intransigeance. Pourquoi le fait de manger durant le Ramadhan serait-il un crime passible de prison au même titre que la dilapidation ou le détournement des deniers publics. » Selon l'avocat de Djamila, cette affaire n'aura pas de suite. L'épisode a été comme « effacé » des archives du commissariat de Draria. Djamila et son cousin, eux, se souviendront longtemps de leur mésaventure.

Cet article est tiré d'EL WATAN journal algérien qu'une amie agnostique m'a envoyé.
et moi qu'est-ce que j'en pense de tout cela
Ca me débecte, çà me fait déféquer que des comportements pareils se voient de plus en plus.
Jeune qui veut, et laisse les autres faire ce qu'il veulent!!!

MARRE DE CETTE INTOLERANCE!!
RAS LE BOL!!

voila pourquoi, plus je vois les musulmans et plus je m'éloigne de l'islam, de dieu et de toute autre religion...

mercredi 9 septembre 2009

Salière et poivrier..design et sexy....

Mesdames
De quoi décorer votre table... durant ce mois de ramadan
et mettre un peu de piment à votre table


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