Bienvenue chez Moi

c'est pas grand mais y a de la place.. Installez vous et venir rire un bon coup. Etroits du cul et de l'esprit..vous risquez d'être vitriolés..
Keep cool..tout le monde...On est ici pour s'amuser et surtout, surtout, ne pas se prendre au sérieux...

Suivez Nous sur Twitter : Zizirider69
Suivez Nous Sur Facebook : Les élucubrations de Zizirider

jeudi 18 mars 2010

Récit d'un con ..de Sonia C.


Définition de con: nom masculin, sexe de la femme, imbécile, idiot, stupide…


Je suis un con, dans tous les sens du terme.
Le con, le vrai, je l’ai entre les jambes depuis le jour de ma naissance. Je suis une femme dont la connerie débordante inonde mon corps.
Petite, je pensais qu’il ne servait que pour pisser, une autre façon d’inonder ma culotte et mon lit. Il a été pendant longtemps très doux, je le sais, puis, petit à petit je le voyais changer, se couvrir de poils. Je les arrachais, au fur et mesure que j’en voyais un apparaître. Quelle horreur ! Plus j’en enlevais plus çà poussait, et de partout ! Quelle connerie ! C’est le cas de dire. Mais à cette époque je ne le savais pas, j’étais juste conne.
Bon ! maintenant qu’il s’est recouvert de poils je n’avais pas le choix, je devais le laisser comme çà, car d’après ce que j’avais compris le con devenait poilu avec l’âge. J’étais normal !
Le con est plein de surprise, mais pas toujours des bonnes, un bon matin mon con saignât. On appelait çà des règles. J’ai jamais compris pourquoi des règles ! Peut être pour régler quelque chose en nous qui n’était pas réglé. Moi je dirai plutôt que çà dérègle, surtout l’humeur. Encore une connerie féminine…
Longtemps après, voir très longtemps…
Le con, toujours imprévisible, laissa s’échapper un petit liquide appelé cyprine, après un long premier baiser que m’avait donné un garçon,. Ce mot est plus joli que règles, on dirait le nom d’une déesse Grecque. La cyprine coulait quand je ressentais du plaisir, un plaisir venu du fond du con, un peu comme des larmes de joie venues du fond du coeur.
La Cyprine devenait de plus en plus présente, et les garçons qui m’embrassaient voulaient y goûter. J’étais tellement pudique que lorsqu’un des garçons essayait de le toucher je sursautais et me mettais à pleurer. Ainsi, je perdais tous les garçons qui finissaient par perdre patience.
Il m’a fallut des années avant de dénuder ce con.
Et puis je suis devenue femme…
Le con n’était plus con, il était devenu roi. Il fut couronné par le sceptre d’un guerrier...
La guerre était mondiale et mon guerrier allât porter secours à d’autres cons… il a dut mourir car je ne l’ai plus jamais revu.
Je rencontrais d’autres garçons, à l’allure de guerriers ou de chasseurs, de poètes ou branleur, de géni ou de chanteur…
Tous n’avaient pas eu la chance du premier, mais ils bataillaient, leur arme lourde à la main ils se voulaient persuasif. Mon con lui résistait bien que la cyprine continuait à couler.
Et chaque fois que le plus brave et le plus fort des guerriers franchissait la rivière de cyprine, chaque fois mon con devenait grand et noble tel un roi.
Puis il a eu un entraînement intensif qui dura 7 ans avec mec qu’on appelait par le prénom d’une fille (mari).
Là, mon con allait devenir invincible ! Fini les petites tapettes, le romantisme à 2 balles, mon con voulait combattre. Il appelait à la guerre, mettait au tapis les plus fort par un KO et qui ne se relèveraient jamais !

Y a-t-il un mec qui relèverait le défi ? Et qui satisferait mon con comme il se doigts ? Heu ! Doit ?

Merci à Sonia Chaieb Auteur de ce joli poème...




Bookmark and Share

1 commentaire:

Anonyme a dit…

bravo,c est tres marrant sonia,ca dedramatise l organe.On souhaiterait que tu nous parle aussi bien des autres parties de ton corps.plus,plus.......aaahhhhh

Membres